
Lundi 18 novembre 2024, Donald Trump, président élu des États-Unis, a ravivé les débats sur l’immigration en confirmant son intention de déclarer un état d’urgence national pour accélérer l’expulsion des migrants en situation irrégulière.
L’annonce, faite sur son réseau social Truth Social, a été une réponse directe à une publication de John Fitton, président de Judicial Watch, une organisation conservatrice. Fitton avait affirmé que la future administration Trump prévoyait de mobiliser des forces armées actives pour mener à bien ces expulsions.
Trump a simplement répondu : « Oui, c’est vrai ! », un commentaire qui a rapidement enflammé les réseaux sociaux et suscité de vives réactions.Les observateurs politiques et juridiques s’interrogent toutefois sur la faisabilité d’un tel projet.
Aucun détail précis n’a été communiqué sur le rôle des forces armées dans ce processus ou sur la légalité d’une telle mesure. De nombreux experts pointent les implications constitutionnelles et pratiques d’un tel recours aux militaires, une décision qui risquerait de rencontrer des défis juridiques importants.
Cette déclaration intervient dans un contexte de tensions accrues autour des questions migratoires aux États-Unis.
Si les partisans de Trump saluent une approche qu’ils jugent ferme, les critiques dénoncent une mesure potentiellement abusive et incompatible avec les principes démocratiques. Reste à voir comment cette proposition évoluera une fois Trump de retour à la Maison-Blanche.
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